Issus d’un institut médico-éducatif accueillant de jeunes autistes, les chanteurs du groupe Astéréotypie dévoilent sur scène leurs univers détonants, encouragés par un éducateur plus passionné d’art brut que de techniques éducatives. Leur aventure collective est un cri de liberté.
Camouflée au cœur des monts du Bic, dans ce territoire que l’on nomme le Bas-du-Fleuve, se cache une communauté d’esprits, des esprits audacieux qui prennent racines. Cette « Sageterre », c’est l’œuvre de Jean Bédard, écrivain, philosophe, travailleur social et surtout paysan.
Vingt jeunes acteurs·trices sont réuni·e·s en laboratoire par les metteures en scène Véronique et Gabrielle Côté afin de créer une œuvre collective. Sur une année complète, ils fouillent la poésie contemporaine québécoise avec l’objectif d’en tirer « l’esprit du temps ».
Chaque année, plus de 400 enfants arrivent seul·e·s, à la frontière canadienne, pour demander le statut de réfugié·e. Craignant pour leur vie, Afshin, Alain et Patricia ont quitté leur pays, sans leurs parents, alors qu’ils et elle n’étaient que des enfants, avec l’espoir d’une vie meilleure au Canada.
Le Khabar Lahariya est une source d'information indienne unique en son genre. Téléphones intelligents en main, ces journalistes déterminées confrontent les traditions des médias traditionnels, s'attaquant aux sujets les plus chauds de l'actualité indienne tout en remaniant leur propre identité en tant que Dalit.
Carré rouge sur fond noir suit de l’intérieur la crise étudiante de 2012 et nous projette au cœur d’un des plus importants mouvements sociaux du Québec. Avec un style de caméra vérité, nous suivons les membres de la CLASSE dans le quotidien de leur lutte.
Malgré le cessez-le-feu de 1994, il n’y a toujours pas de vraie paix entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan qui continuent de se disputer âprement la région montagneuse du Nagorny Karabakh. Sous un même soleil prête une oreille attentive aux habitant·e·s de la région.
À Port-au-Prince, le 4x4 d’une organisation humanitaire est détourné de son usage habituel : ses passager·ère·s haïtien·ne·s l’utilisent maintenant pour y parler de néocolonialisme et dénoncer les promesses faites par la communauté internationale qui n’ont pas été tenues, alors que le peuple crie sa colère.