Par le réemploi de publicités d'électroménagers et d’archives télévisuelles, cet essai rétrofuturiste féministe interroge les discours capitaliste des années 1940 à 1970 afin d'examiner la relation entre les femmes et les technologies.
Slam cinématographique d'une puissant manifeste, fort d'une maîtrise des mots dans la langue imposée par la colonisation, ce film exprime une critique de notre rapport à la Terre-Mère.
À la manière d’un journal filmé, J'ai placé ma mère nous plonge dans l’expérience personnelle du cinéaste et de sa sœur qui veulent s’assurer que leur mère termine dignement ses jours dans le système des CHSLD.
Resources s’intéresse aux conditions d’existence d’humains, d’animaux et de végétaux liés entre eux par la chaîne d’abattage et de transformation de viande. En suivant différents acteurs captés par cette chaîne, le film observe un état de précarité partagé au-delà des frontières de l’espèce.
Les Terrains Vagues ouvre une fenêtre sur un espace au temps étiré, d’où émanent les voix de cinq individus. Gravitant autour de leurs dialogues internes, le film prend la forme d’une conversation libre sur les modèles et idées préconçus qui impactent leur façon de vivre leur sexualité.
Paradoxe, dresse le portrait d'un être d’intensité et de douceur. Alors qu’elle entame l’hormonothérapie féminisante, Laure apprend à apprivoiser les changements corporels, émotionnels et identitaires qui la traversent.
Depuis trois ans, un jeune mexicain demandeur d’asile est contraint de mettre sur la glace son parcours académique et son rêve de devenir policier en raison de son statut migratoire.
Trois trajectoires, dont la cadence est marquée par les gestes rituels du quotidien et les vicissitudes de l’existence, s’agencent autour d’une expérience commune : celle de l’injection comme mode de consommation.