Dans la suite de la Guerre froide, où les puissances impériales rivalisèrent de violence, le principal péril de l'anarchisme n’était plus de disparaître. Il était de s'aliéner. Mais, au cœur des grandes mobilisations sociales, l'anarchisme est toujours présent, sans toujours dire son nom, et relance pour un tour au moins la grande roue de notre histoire.