Au nord du Niger, le village de Tatiste est victime du réchauffement climatique et ses habitant.e.s se déplacent quotidiennement pour avoir accès à l’eau. Or, il suffirait d'un forage pour apporter l’eau au centre du village.
Vingt jeunes acteurs·trices sont réuni·e·s en laboratoire par les metteures en scène Véronique et Gabrielle Côté afin de créer une œuvre collective. Sur une année complète, ils fouillent la poésie contemporaine québécoise avec l’objectif d’en tirer « l’esprit du temps ».
Carré rouge sur fond noir suit de l’intérieur la crise étudiante de 2012 et nous projette au cœur d’un des plus importants mouvements sociaux du Québec. Avec un style de caméra vérité, nous suivons les membres de la CLASSE dans le quotidien de leur lutte.
En 2016, alors que beaucoup ont déjà quitté la partie orientale de l'Ukraine, une zone de guerre, Oleg (10 ans) y reste avec sa grand-mère qui a pris soin de lui depuis la mort de sa mère. Ils n'ont nulle part ailleurs où aller. En se rapprochant d'Oleg, The Distant Barking of Dogs montre l'effet du conflit sur les enfants.
Malgré le cessez-le-feu de 1994, il n’y a toujours pas de vraie paix entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan qui continuent de se disputer âprement la région montagneuse du Nagorny Karabakh. Sous un même soleil prête une oreille attentive aux habitant·e·s de la région.
À Port-au-Prince, le 4x4 d’une organisation humanitaire est détourné de son usage habituel : ses passager·ère·s haïtien·ne·s l’utilisent maintenant pour y parler de néocolonialisme et dénoncer les promesses faites par la communauté internationale qui n’ont pas été tenues, alors que le peuple crie sa colère.
Je me souviens d’un temps où personne ne joggait dans ce quartier est un film impressionniste à la frontière du documentaire ethnographique et de l’essai cinématographique. Il présente le quartier Parc-Extension, surtout, ceux et celles qui y vivent, dans une série de tableaux intimes et contemplatifs.